Surveillances aériennes

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Souvent dix à trente fois plus rapide qu'une surveillance effectuée depuis le sol, la surveillance aérienne est aussi très souvent plus économique en coût par kilomètre surveillé. C'est pour ces raisons qu'elle est utilisée depuis des dizaines d'années en particulier pour les réseaux de gaz, d'électricité, les pipe-lines de transport de carburant, les voies ferrées, mais aussi pour la surveillance routière ou de feux de forêts.

En fonction des anomalies recherchées et de l'environnement survolé, l'observateur travaille visuellement ou avec des capteurs photo ou vidéo. Dans le cas de capteurs photo, les prises de vues peuvent s'effectuer uniquement au cas par cas sur les anomalies ou à l'inverse couvrir l'ensemble de la zone concernée pour en conserver un état des lieux complet, voire effectuer de la recherche d'anomalies/changements en comparant les images de deux survols différents.

L'environnement et les anomalies influencent également le choix du moyen aérien utilisé. Pour des surveillances impliquant du vol à très basse altitude (jusqu'à 50 mètres sol) et des vitesses très lentes, nous utilisons l'hélicoptère. Dans nombres d'autres cas, l'avion léger est une excellente alternative.

Avec Green Observer 1, l'équipage composé d'un pilote et d'un observateur peut évoluer à des vitesses comprises entre 70 et 200 km/h, avec des autonomies de plus de 3 heures de vol et de plus de 600 km. Sa motorisation particulièrement silencieuse et peu polluante (moins de 14 litres d'essence sans plomb par heure de vol) le rend très discret pour des vols en zones sensibles comme les parcs naturels. Ses performances de décollage et d'atterrissage sont compatibles avec de petites pistes au plus proches des zones à surveiller.

Surveiller, c'est voir un maximum de choses et donc disposer d'un champ de vision vers l'environnement extérieur le plus large possible. Green Observer 1 a là également un temps d'avance sur les avions d'ancienne génération. En plus de ses capacités de vol lent, il offre à l'équipage une surface vitrée plus de 2 fois supérieure à celle des avions de génération plus ancienne. S'ajoutent, l'absence de haubans d'ailes, une forme arrondie du bas du fuselage et un emplacement du train d'atterrissage, qui permettent d'offrir une visibilité permanente vers le bas bien meilleure.

Une meilleure visibilité pour une meilleure surveillance aérienne

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